Jeudi 23 janvier à 20h30

Danse Hip-Hop

Danser casa

KADER ATTOU & MOURAD MERZOUKI

FRANCE & MAROC


Un duo de choc

Kader Attou et Mourad Merzouki, nos deux pointures internationales du hip-hop, directeurs de deux Centres Chorégraphiques nationaux, se retrouvent autour de l’envie du partage, de l’échange et de la joie de créer de nouveau ensemble, seize ans après Mekech Mouchkine !

Pour cela, Kader Attou et Mourad Merzouki chorégraphient ensemble pour 8 danseurs marocains choisis parmi un casting de près de 186 hip-hopeurs. Leur point commun ? Une virtuosité à toute épreuve et un parcours d’autodidactes où la rue dicte ses propres règles.

Popping, locking, cirque, acrobatie, parkour, new style house, danse contemporaine, le métissage des styles symbolise une société en pleine transformation. L’envie de franchir des barrières, de repousser les limites, de s’accomplir traversent les corps.

L’esprit de Casablanca convoque l’effervescence de toute une jeunesse qui bouillonne de désirs.

TEMPS FORT : LA JEUNESSE AFRICAINE EN MOUVEMENT

50% esprit hip-hop
50% effervescence marocaine


Partenariat : Escales Danse
Durée : 1h

Direction artistique et chorégraphie : Kader Attou et Mourad Merzouki
Pièce pour 8 danseurs
Avec : Ayoub Abekkane, Mossab Belhajali, Yassine El Moussaoui, Oussama El Yousfi, Aymen Fikri, Stella Keys, Hatim Laamarti, Ahmed Samoud
Musique : Régis Baillet-Diaphane et musiques additionnelles
Lumières : Madjid Hakimi
Costumes : Emilie Carpentier
Assistants des chorégraphes : Virgile Dagneaux et Christophe Gellon
Crédit photo : Michel Cavalca
Création à Casablanca en avril 2018
Première en France les 23, 24 et 24 juin 2018 dans le cadre du festival Montpellier Danse
Coproduction : Fondation Touria et Abdelaziz Tazi, Casa events et animations, l’UZINE, Festival Montpellier Danse 2018, Centre chorégraphique national de Créteil et du Val-de-Marne, Centre chorégraphique national de la Rochelle, Théâtre du Vellein, CAPI-Villefontaine, Théâtre de Chartres, Etat d’esprit productions, l’Aparté.
Avec le soutien de l’Institut Français du Maroc, du studio des arts vivants-Casablanca et de la Fondation PGD.